COLLECTIF STOGRAMM
Life after Life
De l’Ignorance :
La vraie réalité n’est originairement qu’une, mais les degrés de l’ignorance sont infinis ; voilà pourquoi les natures des hommes diffèrent dans leurs caractères.
(Barda Thödol – Livre des morts tibétain)
Life after life … Vie après vie ... La vie après la vie.
Le noir. C’est le point de départ.
La contrainte offerte par Michaël Abbet, co-directeur du Petithéâtre de Sion.
Une contrainte épanouissante qui débouche sur projet théâtral plongeant le spectateur dans le noir.
Les pièges sont nombreux.
Piège du train fantôme : la perte de contrôle du spectateur, sa peur, ses réactions sont utilisées pour le manipuler.
Piège des technologies, dont la puissance nous emmène parfois en des lieux où nous n’avons pas envie ou besoin d’être.
Piège également de la recherche de la virtuosité, qui débouche sur une négation, une esquive de la contrainte. Au delà subsistent dans le noir, la voix et la présence physique du comédien, pour porter le récit dans un rectangle de 6 mètres sur 3.
Le décor c'est le noir : alors nous sommes partout, nous nous déplaçons dans l’espace et dans le temps à la vitesse de la pensée, une vitesse supérieure peut-être à celle de la lumière. Une situation idéale pour évoquer le thème de l’au-delà. Une rencontre entre deux fantômes.
Partant de l'expérience de l’élargissement des limites, Life after life aborde, sous forme de conjecture joyeuse, la question du devenir de la conscience après la mort, en s’inspirant librement de ces trois sources : Les fantômes, l’expérience de mort imminente et la perspective spirituelle.
La vraie réalité n’est originairement qu’une, mais les degrés de l’ignorance sont infinis ; voilà pourquoi les natures des hommes diffèrent dans leurs caractères.
(Barda Thödol – Livre des morts tibétain)
Life after life … Vie après vie ... La vie après la vie.
Le noir. C’est le point de départ.
La contrainte offerte par Michaël Abbet, co-directeur du Petithéâtre de Sion.
Une contrainte épanouissante qui débouche sur projet théâtral plongeant le spectateur dans le noir.
Les pièges sont nombreux.
Piège du train fantôme : la perte de contrôle du spectateur, sa peur, ses réactions sont utilisées pour le manipuler.
Piège des technologies, dont la puissance nous emmène parfois en des lieux où nous n’avons pas envie ou besoin d’être.
Piège également de la recherche de la virtuosité, qui débouche sur une négation, une esquive de la contrainte. Au delà subsistent dans le noir, la voix et la présence physique du comédien, pour porter le récit dans un rectangle de 6 mètres sur 3.
Le décor c'est le noir : alors nous sommes partout, nous nous déplaçons dans l’espace et dans le temps à la vitesse de la pensée, une vitesse supérieure peut-être à celle de la lumière. Une situation idéale pour évoquer le thème de l’au-delà. Une rencontre entre deux fantômes.
Partant de l'expérience de l’élargissement des limites, Life after life aborde, sous forme de conjecture joyeuse, la question du devenir de la conscience après la mort, en s’inspirant librement de ces trois sources : Les fantômes, l’expérience de mort imminente et la perspective spirituelle.
Générique
Petitheatre de Sion - Janvier 2013
Conception et mise en scène : Alexandre Vogel et Olivia Seigne // Jeu : Fred Mudry et Olivia Seigne // Scénographie : Alexandre Vogel // Lumières : Aurélien Cibrario // Préparation physique : Myriam Gaudin // Photo de l'affiche : Michel Bonvin // Production : Collectif StoGramm // Coproduction : CMA - Petithéâtre de Sion
Petitheatre de Sion - Janvier 2013
Conception et mise en scène : Alexandre Vogel et Olivia Seigne // Jeu : Fred Mudry et Olivia Seigne // Scénographie : Alexandre Vogel // Lumières : Aurélien Cibrario // Préparation physique : Myriam Gaudin // Photo de l'affiche : Michel Bonvin // Production : Collectif StoGramm // Coproduction : CMA - Petithéâtre de Sion
Proudly powered by Weebly